LE SPECTACLE : "Ma déclaration d'humour"
revisitée pour les Fauteuils Volants
Le
héros de “Ma déclaration d'humour” n'a pas le cœur à rire. Il
psychosetraumatise attendant désespérément le coup de fil des trois futures
femmes de sa vie promises par l'agence matrimoniale “Chaque Barbie a son Ken”.
Hélas, le cœur a ses réseaux que Belgacom ne connaît pas ! Alors, ce fils naturel de Vivragel et de Germinator, négrivain spécialisé en petites annonces amoureuses, nous raconte sa vie chambouleversée et imagine ses futures rencontres amoureuses.
Au travers d'une multitude de saynètes où défilent des personnages hauts en couleur : le père-mutant, la mère-veilleuse, un météo-neurologue exalté et autres personnages d'une galerie pour amateurs de destins animés.
Spectacle mariant humour et poésie, satire et émotion, dans une langue réinventée et jubilatoire où, sons déçus des sens, les mots sont sens dessus dessous.
«D’un enfant, Bruno Coppens a la spontanéité, vive, le sourire innocemment charmeur et la poésie innée. Ses jouets sont les mots.
Il les lance dans tous les sens, les dérange avec ironie, les transforme effrontément pour en faire des noeuds de mots qu’il sert et ressert à volonté au public. »
Thierry Denoël, Le Vif - Express
Hélas, le cœur a ses réseaux que Belgacom ne connaît pas ! Alors, ce fils naturel de Vivragel et de Germinator, négrivain spécialisé en petites annonces amoureuses, nous raconte sa vie chambouleversée et imagine ses futures rencontres amoureuses.
Au travers d'une multitude de saynètes où défilent des personnages hauts en couleur : le père-mutant, la mère-veilleuse, un météo-neurologue exalté et autres personnages d'une galerie pour amateurs de destins animés.
Spectacle mariant humour et poésie, satire et émotion, dans une langue réinventée et jubilatoire où, sons déçus des sens, les mots sont sens dessus dessous.
«D’un enfant, Bruno Coppens a la spontanéité, vive, le sourire innocemment charmeur et la poésie innée. Ses jouets sont les mots.
Il les lance dans tous les sens, les dérange avec ironie, les transforme effrontément pour en faire des noeuds de mots qu’il sert et ressert à volonté au public. »
Thierry Denoël, Le Vif - Express