AIDA KAZARIAN
Née à Bruxelles le 3 octobre 1952, Ada Kazarian s'initie à la peinture auprès de Berthe Dubail.
L'artiste grandit entourée de tapis d'Orient à la maison et dans l'atelier de restauration de ses parents : toute son oeuvre en sera imprégnée.
D'abord assistante puis professeur à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles , elle poursuit conjointement une carrière de peintre qui se décline en tableaux, rouleaux et carnets. Elle est élue membre de l'Académie royale de Belgique en 2005.
Au départ, elle peint des jardins où se révèle un mouvement de va-et-vient constant qui s'impose au regard des spectateurs. Bientôt, elle réalise qu'il existe une passerelle entre son oeuvre de peintre et le travail de restauration de tapis que réalisait sa maman.
Cette prise de conscience l'amène à abandonner les outils de peintre et à utiliser le bout de ses doigts. Peu à peu, elle fait sienne une technique d'écriture primitive qui s'inscrit de gauche à droite et de droite à gauche sur la toile, à l'instar du tissage d'un tapis.
Aida Kazarian a exposé ses oeuvres à maintes reprises : Dentelles, à la Maison de la Culture à Namur en 2000, Caresse, à La Verrière-Hermès à Bruxelles en 2009, Ancien et petits-modernes à la Galerie Détour à Namur en 2014, entre autres. Elle a en outre participé à de nombreuses expositions collectives.
Tantôt éclatante de couleurs vives, tantôt éthérée jusqu'à la disparition, l'oeuvre sensible et délicate d'Aida Kazarian récite et chante les douleurs et les joies de son existence et ressuscite indéfiniment l'amour du geste transmis par sa mère.
Aïda Kazarian est membre de l'Académie des Arts de Belgique.
L'artiste grandit entourée de tapis d'Orient à la maison et dans l'atelier de restauration de ses parents : toute son oeuvre en sera imprégnée.
D'abord assistante puis professeur à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles , elle poursuit conjointement une carrière de peintre qui se décline en tableaux, rouleaux et carnets. Elle est élue membre de l'Académie royale de Belgique en 2005.
Au départ, elle peint des jardins où se révèle un mouvement de va-et-vient constant qui s'impose au regard des spectateurs. Bientôt, elle réalise qu'il existe une passerelle entre son oeuvre de peintre et le travail de restauration de tapis que réalisait sa maman.
Cette prise de conscience l'amène à abandonner les outils de peintre et à utiliser le bout de ses doigts. Peu à peu, elle fait sienne une technique d'écriture primitive qui s'inscrit de gauche à droite et de droite à gauche sur la toile, à l'instar du tissage d'un tapis.
Aida Kazarian a exposé ses oeuvres à maintes reprises : Dentelles, à la Maison de la Culture à Namur en 2000, Caresse, à La Verrière-Hermès à Bruxelles en 2009, Ancien et petits-modernes à la Galerie Détour à Namur en 2014, entre autres. Elle a en outre participé à de nombreuses expositions collectives.
Tantôt éclatante de couleurs vives, tantôt éthérée jusqu'à la disparition, l'oeuvre sensible et délicate d'Aida Kazarian récite et chante les douleurs et les joies de son existence et ressuscite indéfiniment l'amour du geste transmis par sa mère.
Aïda Kazarian est membre de l'Académie des Arts de Belgique.
Valeur estimée: 1000-1200€